
313 pages
Genre(s) : Science-fiction
Pendant les quelques secondes nécessaires pour lire cette seule phrase vont naître sur terre quarante humains mais surtout sept cents millions de fourmis. Depuis plus de cent millions d'années avant nous, elles sont là, réparties en légions, en cités, en empires sur toute la surface du globe. Iles ont créé une civilisation parallèle, bâti de véritables royaumes, inventé les armes les plus sophistiquées, conçu tout un art de la guerre et de la cité que nous sommes loin d'égaler, maîtrisé une technologie stupéfiante. Elles ont leur propre Attila, Christophe Colomb, Jules César, Machiavel ou Léonard de Vinci. Le jour des fourmis approche. Le roman pas comme les autres nous dit pourquoi et nous plonge de manière saisissante dans un univers de crimes, de monstruosités, de guerres tel que nous n'en avons jamais connu. Au-delà de toute imagination. Il nous fait entrer dans le monde des infra¬terrestres. Attention où vous mettrez les pieds. Après avoir lu ce roman fascinant, vous risquez de ne plus regarder la réalité de la même manière.
Quoi de plus original qu'un livre sur les fourmis ?
Il est vrai que j'étais intriguée par ce livre, et j'avais acheté le tome 2 pour trois fois rien. Comme on m'a proposé une lecture commune sur le groupe Facebook Vieilles lectrices qui tricotent sur leur rocking-chair devant la cheminée, j'ai accepté, et j'ai réussi à me procurer le premier tome pour... trois fois rien également.
Il m'a fallut dix jours pour terminer ce livre, qui n'est pourtant pas bien épais. Je n'avais pas spécialement eu le temps de lire, et puis j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire. Bernard Werber nous conte l'histoire d'une petite famille qui vient d'hériter d'un appartement, par un oncle scientifique. Cependant, les membres de la famille ont l'interdiction d'entrer dans la cave mais Jonathan, le père, y sera forcé lorsque leur chien se retrouvera enfermé dans la cave. Lorsque Jonathan remontera, ce sera avec le cadavre du chien dans les bras et, à partir de ce moment-là, le père de famille devient étrange : il descend régulièrement à la cave, achète des livres sur les fourmis...
En parallèle, on suit l'histoire des fourmis, qui portent toutes un nom. C'est d'ailleurs ces passages, parfois un peu longs, avec les fourmis qui m'ont ennuyée. Les 150 premières pages étaient, je dois l'avouer, plutôt longues, mais la lecture est devenue beaucoup plus captivante ensuite.
En ce qui concerne les personnages, nous les voyons trop peu pour avoir le temps de nous y attacher, et il en est de même pour les fourmis. J'essayais avant tout de comprendre et de suivre l'histoire, qui s'arrête un peu en plein suspens, et qui m'a tout simplement donné envie de lire le second tome.
LaBiblioKate, Posté le samedi 05 octobre 2013 09:07
je dois le lire, mai pas le temps en ce moment, le thème sf et bernard weber e tentent pourtant =+++